Tuesday, May 13, 2008





Re-thinking curatorial c'est la partie du blog dédiée en part à la veille Internet et à la création d’une archive virtuel personnel des pratiques curatoriales et d'enseignement de l'art ainsi qu’un espace de réflexion sur l'idée même d'archive et d'archivage. En particulier vous y trouverez un observatoire sur la culture caribéenne contemporaine.

Re-thinking curatorial é la sezione del blog dedicata alla veglia internet che viene così a costituire un archivio virtuale personale. Questo vuole essere uno spazio di riflessione sull’ idea stessa di archivio come sulla pratica curatoriale e pedagogica nell'arte contemporanea, In particolare un osservatorio sulla cultura caraibica contemporanea.

Re-thinking curatorial es la parte de el blog que desarrollo de una parte vigilando en Internet y cuya finalidad es la de crear un archivo virtual personal. Esto quiere ser un espacio mental de reflexión entorno a la practica de la curatela y de la educación del arte y de la historia contemporánea en particular, un observatorio sobre la cultura criolla del caribe; y al mismo tiempo una reflexión sobre la idea misma de archivo.






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Saturday, June 2, 2007

La Culture Contemporaine du Caribéen

Tip : une application spontanée du rhizome qui donne lieu à une conscience de l’hybridation comme réponse à la culture imposé et hiérarchique.

La culture contemporaine du caribéen c’est très intéressant, dans le cadre de perspective que je développe ici, en effet, résultat de cette opération est très proche (soit à niveau de son but soit aussi par la méthodologie adoptée) de ce que je cherche de faire en utilisant moi-même. Il y a donc plusieurs niveaux à considérer :

1. On peut decodifier cette culture comme unes des premières applications spontanées du rhizome.

2. L’effort de redéfinir une identité à partir d’autres identités, introjectés comporte la prise de conscience de l’hybridité en tant que statut identitaire digne de reconnaissance.

3. Il est donc de primaire importance se réapproprier et redessiner sa propre histoire et mémoire. Conserver certains souvenirs et en oublier des autres, en somme une opération de découpage et de transformations illégitimes de l’Histoire en faveur des histoires.

4. Par conséquent on commence à créer des nouveaux langages, des nouveaux imaginaires et un autre filtre (lunettes) culturelle, et c’est justement pour cette raison qu’un effort est demandé a ceux qui veulent approché cette culture (aller vers).


Le tentative de définir une nouvelle identité caribéenne a son point de départ dans un univers déjà très hétérogène: le caribéen francophone, le caribéen anglophone, le caribéen hispanophone.
Géographiquement on parle de grand et de petits Antilles.

La différence qui a produit une réalité si complexe dans des territoires relativement petit c’est que la colonisation même a été très diversifiée tandis que la terre ferme a été colonisé que par l’Espagne et donc le résultat en est une culture latin de religion essentiellement catholique pourtant une colonisation beaucoup plus fragmenté est arrivé dans les caribéen, pas seulement espagnole mais hollandaise, française anglaise et portugaise. Ce qui a eu comme résultat «une balkanisation» de l’ensemble de cette aire géographique pourtant « une unité sous-marine unie ces îles » comme les dit le poète Brathwithe, il s’agit justement de se qu on appelle créolisation qui (prende le mosse) démarre de la disomogeneité ( ?) qui concerne l’aspect humain, économique et politique.
La créolité représente un laboratoire multiculturelle qui préfigure l’hybridation culturelle vers laquelle semble de plus en plus aller toute la planète.
La colonisation et l’esclavage des noirs en sont à la base et par conséquent ils représentent deux phénomènes qu’il faut absolument comprendre pour decodifier la réalité actuelle.
1492 Cristoforo Colombo débarqua dans « les indes occidentaux ». ainsi que les autres puissances européennes se dépêchent à faire de même.
Les populations indigènes tels que les Arawak, Caribi, Taino furent presque totalement exterminés. Le génocide préoccupa les Européennes dans la mesure où il fallait remplacer aux natives « d’autres barbares » à utiliser en tant que main-d’œuvre et si possible plus résistante dans le XVI sec. Commence ainsi la déportation des noirs de l’Afrique notamment le circuit triangulaire (Europe – Afrique – Amérique Latin) : les bateaux partaient de l’Europe avec de marchands qu’ils échangeaient pour des esclaves en Afrique les bateaux repartaient donc à la fois de l’Amérique Latin pour retourner enfin en Europe avec des préciosités obtenu sous les sacrifices de la liberté et souvent de la vie autrui.
Mais quel était le patrimoine culturel que ces gens ont emmené avec eux, jusqu’à l’autre cote du monde ? Et comment cette culture s’est transformée dans leurs nouvelles conditions de vie ? Comment vit-on dans des situations si extrêmes et quelles sont les répercussions sur la culture et l’identité?
Il a forcément fallu élaborer des nouveaux codes pour s’adapter aux nouveaux nécessités et contextes qui s’imposent. Et c’est précisément cette élaboration qui donnera lieu petit à petit à la culture et à la langue créole (qui en effet à été considéré longtemps une langue et toutefois pas une culture et une langue dignes de ce statut)
La morale de vie de noirs était positivement connotée par des formes de collectivités qui viennent à manquer en faveur d’une individualité de survivance (familles sont séparées, éloignement des la terre maternel, oublie partiel de la langue maternel en faveur d’un compromis languistique, interdiction de pratiquer leur propre religion etc.).
Interdit l’esclavage, les noirs et mulats se retrouvent à représenter la majorité numérique des îles caribéen, avec une petite partie des blanches (très puissants) et des orientaux (déportés après l’interdiction de l’esclavage des noirs).Voici dans le désordre plus total la base commune alors que la réalité contemporaine ressent tant de l’influence des blanches que des noir auxquels on peut ajouter en temps plus récent la mondialisation et la culture étasunienne.
Pour ce qui concerne la religion, officiellement il y a une majorité catholique et protestante (avec une minorité induiste) mais bien sur elles coexistent avec des cultes syncrétiques qui ont ses racines dans les religions animistes africaines :
- Le vudù à Haïti
- Le kuma, pukkamina et revivialzion en Jamaïque
- La santerìa à Cuba
- Il y a aussi de plus en plus une diffusion des sectes évangélistes qui viennent es États-Unis
Pour ce qui concerne la production culturelle (la musique, l’art et la littérature) il faut avant tout préciser que :
- À Haïti la langue officiel c’est le Français et le créole
- Dans les DOM (départements d’autre mer de la France : Martinica et Guadalupa) c’est que le Français (même si on parle créole) de même qu’en de Dominicana, Grenada et Santa Lucìa
- À Porto Rico c’est l’espagnol et l’anglais (langue officielle à partir de 1993)
- Dans la République Dominicain et à Cuba c’est l’Espagnol
Pour ce qui concerne la musique les racines africaines sont très profondes :
- En Jamaïque notamment avec le reggae (dont J.Cliff, B.Marley, P.Tosh) et la Jamaican School of Arts
- À Haïti notamment avec la peinture naïve
- À Cuba, la traduction latine ressort avec la pratique du mural
Tandis que dans la deuxième moitié de’800 fleurit une littérature qui pratique toutes les gammes du possible.
UNE TOUR DE BABELE POSITIVE : laboratoire postcolonial comme Edouard Glissant aimé le définir, où « il est possible de penser dans toutes les langues»

Donc une réalité culturelle, économique et politique énormément compliquée.
Dès 1973 sur l’exemple de l’union européenne voit la lumière la CARICOM (Caribean Community).

En général on peut remarquer un tournant pendant les années 50 du siècle passé :
- Cuba vit son extraordinaire révolution de ‘56-‘59 et Fidel Castro en fera la première république socialiste d’Amérique Latin.
- Haïti par contre vit l’instauration de la terrible dictature de François Duvalier
- Martinica et Guadalupa voient la transformation de leur statut de colonies à départements d’autre mer en 1948.





NOTES:
1. I Caraibi : La cultura contemporanea, Maria Pia de Angelis, Cristina Fiallega, Carla Fratta, Ed. Carocci, Le Bussole, 2003.
2. E grazie a joele seddio seppure nella sua completa insaputa.


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